HE Sayyed Ali Al-Amin devant 1200 personnalités islamiques de 127 pays lors du congrès de la Ligue Islamique Mondiale :”L’unité islamique, le danger de la classification et de l’exclusion” sous l’égide du Serviteur des Deux Mosquées au Haram à la Mecque.
- Les principaux obstacles à l’unité islamique sont la rivalité politique basée sur les sectes et la partisannerie.
- Il est nécessaire de revoir les lois sur la formation des partis sur des critères religieux et sectaires, car ils amènent à la lutte de pouvoir.
- La meilleure façon de former des partis et des groupes politiques est de les établir sur la base de programmes politiques, sociaux et culturels qui ont pour vocation l'intérêt de la patrie et du citoyen.
- Le parti religieux et sectaire contribue au tri politique parmi les enfants de la même patrie.
- Notre présence aujourd'hui à La Mecque nous place face aux leçons du passé à partir desquelles l'appel islamique a été lancé, quand l'unité était la plus importante des revendications des musulmans.
- Nous sommes tous tenus de ne nous écarter des facteurs de division et de divergence et de reconnaître que l'unité de la Oumma est l'un des objectifs de la Charia, que nous devons adopter et respecter.
- Les appels fondés sur le sectarisme exposent l'unité du peuple aux dangers du conflit et de la division.
- Œuvrer en faveur du sectarisme est incompatible avec les commandements de la Charia qui appelle à la paix et à la coopération pour le bien.
-En raison de leur attachement civilisationnel aux enseignements de l’islam, nos sociétés ont vécu plusieurs siècles à l’écart de cette abominable logique sectaire.
